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Les services généraux du laboratoire sont étroitement associés aux activités de recherche, en contribuant directement ou indirectement aux activités des équipes de physique, et aussi à la vie générale du laboratoire. Leurs effectifs représentent environ la moitié des permanents du LPC. Les services techniques relèvent de la plupart des spécialités requises par les besoins instrumentaux (électronique, microélectronique, mécanique, informatique), sur place et sur les sites expérimentaux. Le service informatique a des charges supplémentaires d’intérêt général pour les équipes de recherche et les autres services. L’administration est véritablement ″au service″ de tous les groupes du laboratoire (équipes et services) et des personnels, et sert bien entendu d’interface avec les organismes de tutelle et autres structures. La documentation couvre des activités internes (bibliothèque, recherche de documents, etc.) et des activités externes liées à l’enseignement (Master M2). Comme l’enseignement, la communication est également liée à la diffusion des connaissances, mais vers des publics plus vastes que celui des étudiants : cet aspect est traité dans la section ″Communication et diffusion de l’information scientifique″.
Les activités expérimentales de notre discipline (″l’exploration des deux infinis″) requièrent la conception et la réalisation d’instruments complexes et performants qu’il faut ″inventer″ afin qu’ils répondent aux besoins des objectifs de physique. C’est, en effet, une spécificité de notre domaine : les détecteurs de particules sont élaborés pour un projet donné. Les services techniques participent justement aux choix instrumentaux des physiciens lors de la définition des éléments d’appareillages au sein des collaborations, puis à tout ou partie de différentes étapes après rédaction d’un cahier des charges : conception, étude, prototypages et tests, étude finale, réalisation au laboratoire ou en relation avec des entreprises, montage sur le site expérimental, tests de fonctionnement, "commissioning" (mise en route et réception) et, enfin, maintenance voire évolution des matériels. La fabrication d’un détecteur, ou d’un élément de détecteur, met en œuvre des technologies de pointe qui associent de l’électronique et de la microélectronique, de la mécanique, de l’informatique.
L’électronique et la microélectronique sont présentes sous leurs deux aspects, analogiques et numériques, et se concrétisent par des cartes et des puces électroniques, souvent assemblées dans un dispositif plus vaste.
La mécanique couvre un large domaine qui peut s’étendre à des aspects liés à l’optique, au refroidissement, à la cryogénie, à la manutention…
L’informatique est présente à différents stades, de la conception assistée par ordinateurs pour les autres services techniques aux calculs effectués par les physiciens, en passant par le contrôle en ligne du fonctionnement des détecteurs. Les services Microélectronique et Informatique peuvent également assurer certaines prestations à des entreprises ou des organismes extérieurs.
L’administration participe, entre autres choses, à la gestion des budgets, aux contacts avec les entreprises (commandes, factures, etc.), aux missions des agents, et sert d’interface avec les organismes de tutelle (CNRS et IN2P3, Ministère et Université), la Région, l’Europe, etc. Elle contribue aussi à la gestion des ressources humaines et aux relations internationales.
La documentation gère la bibliothèque du laboratoire, la collection et la recherche de documents dans le cadre d’un réseau IN2P3, la préparation de rapports. Elle a aussi des activités liées à l’organisation de l’enseignement (le master M2 de Physique). Les activités de communication se situent dans le cadre général de la communication et de la diffusion de l’information scientifique, lequel fait l’objet d’un chapitre spécial sur le site web du laboratoire.